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Château de Dieppe 


Historique
L’imposante silhouette du château domine la paisible petite cité portuaire qui s’étend à ses pieds, juché sur sa falaise calcaire. Le promontoire est occupé depuis la fin du XIIe siècle, mais l’actuel bâtiment fut élevé d’un seul jet au XVe siècle en grès et en silex. Il abrite aujourd’hui le musée de la ville, riche d’une collection d’ivoires particulièrement significative.   Le château est ouvert tous les jours : - du 1er octobre au 31 mai, sauf le mardi. du 1er Juin au 30 septembre.
le château est fermé les 01/01 01/05 01/11 25/12.

 

 

 

Château d'Arques la Bataille  

Situé sur un promontoire crayeux, le château d’Arques-la-Bataille est une référence exemplaire de l’architecture militaire du Moyen-âge.

Il domine la ville, petit pôle culturel jouissant d’un patrimoine historique et architectural très intéressant.

Château d'Arques la Bataille 76880 Arques la Bataille Propriétaire : Propriété de l'Etat
Monument Classé

 

 

 

Château et Roseraie du Mesnil-Geoffroy

Ravissant château XVIIIe siècle, classé Monument Historique, meublé et habité. Bel ensemble de boiseries, de meubles et objets Louis XV.   Exceptionnelle roseraie, 2 500 rosiers consacrés aux parfums et aux couleurs. Labyrinthe en charmille et arbustes de printemps.    
76740 ERMENOUVILLE
Période d'ouverture Roseraie + parc : ouvert du 1er mai au 30 septembre. Château + parc + roseraie : ouvert du 1er mai au 30 septembre.     

 

 

 

Château de Galleville Hameau de Galleville 76560 Doudeville

Historique
on peut, sans risque de se tromper, affirmer que Galleville est l'une des plus belles demeures du Pays de Caux. Construit à la fin du XVIIème siècle -vers 1685- le château de Galleville représente avec ses dépendances, un chef d'oeuvre architectural, dont la construction est restée intacte.     

Ancienne propriété du Maréchal Duc de Villars. Ce château bâti à la fin du XVIIe est d'une remarquable unité. Cour d'honneur, élégants communs. Salon, chapelle, bibliothèque, ancienne cuisine. Belles perspectives de chênes et hêtres. Ifs, buis, tilleuls. Jardins de fleurs, potager fleuri.

Les terres sur lesquelles se trouve le château appartenaient à l'abbaye de Valmont et furent acquises en 1660 par Monsieur Roque de Varengeville (conseiller de Louis XIV). Il reste aujourd'hui encore une trace de cette union puisque Galleville porte sur son fronton les armes couplées de Villars et de Roque de Varengeville.En 1943, la guerre ravagera le château lors d'un effroyable incendie. Grâce à la volonté et au perfectionnisme du Baron d'Etchegoyen le château sera restauré dans une parfaite unité de style. Aujourd'hui le château de Galleville est classé monument historique. Avec un parc admirable, une cour d'honneur bordée de murs en arc de cercle, sa basse cour et ses fermes, Galleville se dresse encore comme un bastion au milieu du plateau, un impressionnant édifice dominant la plaine.Les amateurs d'art pourront découvrir des salons au mobilier d'origine, une bibliothèque retraçant la campagne d'Egypte de Napoléon Bonaparte - l'immense escalier en bois, l'ancienne cuisine, la petite chapelle en marbre rose et bien d'autres merveilles.
PARC ET JARDIN Ouverture du 1er juin au 31 octobre.Visite libre.  

       

Ecretteville-les-baons
Manoir du Catel  

Niché au creux d'un vallon clos de hêtres séculaires, le manoir est l'un des plus anciens manoirs de Normandie. Édifié sous Saint-Louis par Richard de Treigots, Xe Abbé de Fécamp, le manoir dévoile de sa restauration ses secrets et de ses charmes. Exposition : "Remède au Moyen-âge".   Bienvenue au Manoir du CatelLe Manoir du Catel est l'un des plus précieux témoins du Moyen Age Normand. Le plus ancien manoir seigneurial de Haute-Normandie qui abrite une collection unique de graffiti est, pour les spécialistes du patrimoine et les médiévistes.Sauvé de la destruction par l'imposant programme de travaux entrepris depuis le printemps 2000, le Manoir du Catel a aujourd'hui retrouvé sa splendeur médiévale au coeur de son vallon. C'est là aussi, l'une des facettes à protéger de ce fabuleux monument et le message qu'il nous délivre : sachons protéger notre patrimoine.
En pénétrant sur les anciennes terres des Abbés de Fécamp nous pouvons contempler le Manoir du Catel tel que les hommes du Moyen Age ont pu le faire avant nous, dans son écrin de verdure. En descendant l'allée bordée de lupins au printemps, de marguerites et d'achillées en été, entouré de graminées de toutes sortes, je souhaite qu'une émotion intense vous envahisse.

 


   

Château de Moulineaux dit "Robert le diable" 

Le Château de Moulineaux fut édifié vers les XIème XlIème siècles Richard Coeur de Lion y séjourna. Son successeur, Jean sans Terre, 13ème duc de Normandîe en partit en 1204, pour aller assassiner à Rouen son neveu Arthur de Bretagne.                                      

Dans l'entrefaite, le Roi de France, Philippe Auguste entreprenant, la conquête de la Normandie, investit aux Andelys la redoute réputée imprenable, construite dix ans plus tôt par Richard Coeur de Lion.

Jean sans Terre pensant retarder le triomphe de Philippe fit démanteler la petite forteresse de Moulineaux et se réfugia dans son royaume d'Angleterre. C'est ainsi que les Rois d'Angleterre perdirent la Normandie. Ainsi furent séparées Normandie et Angleterre dont en 1066, Guillaume le Bâtard avait fait, avec la bénédiction du Pape, le royaume anglo normand. Attachant beaucoup de prix au verrou de Moulineaux, Philippe en releva, une première fois le château.

C'est que la petite place forte contrôlait l'entrée de Rouen où le Roi de France édifiait le château dans lequel en 1430 1431 Jeanne d'Arc fut emprisonnée. Château qui fut démoli au XVIe siècle. On possède la liste des capitaines qui gardèrent au nom du Roi de France, le bastion de Moulineaux. En 1418 les Rouennais croyant, à leur tour, à l'im. portance stratégique de Moulineaux en sacrifièrent les tours et les firent sauter. A leur avis, il y avait là de quoi empêcher les Anglais de se fortifier d'ans leur conquête de notre Province. Ils se trompaient car les Anglais demeurèrent à Rouen de 1418 à 1449.

Dès lors, les ruines furent la proie des pillards, des brigands, des réprouvés, des chouettes, des grands ducs, des fantômes. Pendant des siècles personne n'osa plus vivre sur la colline. Les habitants de Moulineaux se signaient en passant dans les parages et ne s'y aventuraient, jamais à la nuit tombée, Les ruines émergeaient de la forêt pour sombrer dans la brume ou dans l'obscurité. On racontait que le soir, les nuages bas transportaient dans leur voyage, la silhouette fantastique des murailles, les stigmates de tous ceux qui avaient péri en s'aventurant dans les ruines.

Au début du XIXe siècle, les romantiques rodèrent à Moulineaux. Des gravures allemandes représentent les ruines s'élançant par dessus les broussailles, les ronces, les muriers sauvages. En 1870, les francs tireurs s'y battirent. Les Prussiens dépensèrent plus d'hommes pour la prise de Moulineaux que pour colle du Havre. L'histoire moderne du Château Robert le Diable ne commence vraiment qu'en 1903. Le propriétaire de la colline M. Oscar Cosserat fit défricher les vestiges du Château, relevé par Philippe Auguste. Audacieusement, il rêva de restituer au paysage l'ancienne forteresse.

Il rebâtit au Nord la tour de Rouen, au Sud celle de Bourgtheroulde, consolida les souterrains. Grâce à lui le Château Robert le Diable ressuscita de ses cendres. Les Rouennais le dimanche visitaient parfois le Château. Un petit musée dans lequel étaient exposés des souvenirs ramassés lors des fouilles en 1903, avait été aménagé dans la Grande Tour. En quatre années de 1940 à 1944 tout cela disparut, volé, dispersé, anéanti, saccagé.

Dix ans après en 1953, Roger Parment entreprit avec une poignée d'amis de sauver une fois de plus ces ruines séculaires, toujours abandonnées et toujours protégées. Le 12 avril 1954, le Château Robert le Diable était rendu aux Rouennais sur la Colline de Moulineaux. 

C'est à dire, qu'ils pouvaient enfin visiter les ruines, sans risque de tomber au fond d'un puits de 114 mètres, sans risque d'être précipités du sommet des remparts ou du faîte des Tours. Ils pouvaient en toute quiétude, en se laissant guider à travers les souterrains et les salles aménagées, visiter ce cadre incomparable d'où l'un découvre l'un des plus beaux panoramas de Normandie.

 

 

 

Château de Cany Barville

Le château de Cany est un château de style Louis XIII situé sur la commune de Cany Barville, en Seine Maritime. Le château fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis 1930. De forme rectangulaire de 10 m sur 45 m et sur trois niveaux, il totalise environ 1 300 m² habitables. Il est fait de briques, de pierres  calcaire et de grès. Il est couvert d'une toiture en ardoise. Il est entouré d'un vaste parc de 30 ha, arrosé par la Durdent, qui en alimente les douves.
Il a été construit entre 1640 et 1656, sur commande de Pierre Le Marinier, un parlementaire de Rouen, et selon les plans de François Mansart. Pierre de Bec de Lièvre puis Anne-Christian de Montmorency-Luxembourg.En 2009, il appartient au comte Antoine de Dreux-Brézé, de la famille d'Harcourt.Depuis 1980,il est inhabité, il est ouvert au public chaque été à partir du 1er juillet. On peut y admirer, à l'extérieur, les jardins et, à l'intérieur, du mobilier du XVIII e siècle, des boiseries, des tentures, une bibliothèque et les cuisines. Jusqu'en 2006, il a été le théâtre du concours annuel d'attelage de l’école Jeanne d’Arc..  

 

       

 

Château d'Herbouville

 

Château des XVIe et XVIIe siècles, en brique et grès avec deux pavillons d'entrée. Cuisine voûtée Renaissance et chambre ancienne meublée décorée.

Parc, jardin bouquetier et jardin nourricier de légumes anciens. Pièces d’eau avec plantes aquatiques. Pergola de roses et clématites.  

Château d'Herbouville 1 rue d'Herbouville 76740 - SAINT-PIERRE-LE-VIEUX 

 

 

 

 

Château d'Arques La Bataille

 

Au XIIe siècle, un conflit oppose le vicomte de Carcassonne et plusieurs seigneurs dont ceux d'Arques et de Lagrasse. Les terres d'Arques deviennent la propriété des Seigneurs de Termes.   En 1217, Béranger d'Arques figure parmi les proches de Guillaume de Peyrepertuse . En 1231, après la défaite du château de Termes durant la croisade contre les Albigeois, SimonIV de Montfort s'attaque à Arques.   Après avoir brûlé le village (Villa de Arquis), situé sur les bords du  Rialsès, il donne cette partie du  Razès à un de ses lieutenants,  Pierre de Voisins.   En 1284, Gilles de Voisins commençe les travaux de construction du château. Il s'agissait de défendre la vallée du Rialsès et de contrôler les voix de la Transhumance qui menaient aux Corbières. En 1316, Gilles II de Voisins dit "Gilet" remanie et achève la construction du château. En 1518, Françoise de Voisins dernière héritière des Voisins épouse Jean de Joyeuse auquel revient la baronnie d'Arques. Le château fût alors délaissé au profit de Couiza.   En 1575, le château est assiégé par les protestants et seul le donjon résiste à l'assaut. À partir de la Révolution, le château tombe en ruine. Il est vendu comme bien national puis subit quelques dommages.   Il est classé monument historique le 16 août 1887. Il est alors rénové et reconstruit en partie, puis ouvert aux visiteurs. 

 

    

Château d'Auffay

Le château de Bosmelet est un lieu de mémoire et un lieu de vie. La visite du domaine de Bosmelet commence à l'abri d'une avenue de hêtres cinquantenaires où les dalles de béton ayant servi d'accès à une rampe de lancement de VI sont utilisées aujourd'hui comme parking. En avançant jusqu'à l'entrée située dans l'ancienne chapelle du XVIIIe siècle, on découvre l'architecture classique du château de pur style Louis XIII en briques et pierre sous la toiture en ardoises d'Angers (dont les coloris servent de trame et de rappel pour les plantations du jardin).   L’harmonie pacifique du lieu fut encore souligné au début du 18éme siècle quand Jacques Caumont, Duc de la Force,  qui avait épousé Mademoiselle Beuzelin de Bosmelet, demande à Colinet – ancien premier jardinier de Le Notre à Versailles – de dessiner un parc dans l’esprit du Grand Siècle.

 

 

 

Le Manoir d'Auffay

 

Le Manoir d'Auffay   est situé dans la vallée de la Durdent. C'est Jean d'Houdetot,   Seigneur d'Auffay la Mallet, qui entreprit la construction de cet édifice   au cours de la seconde moitié du XVe siècle. Côté "forteresse", le manoir est encadré de deux   grosses tours cylindriques et d'une tourelle d'escalier polygonale. La présence   des mâchicoulis à l'étage, de canonnières à   la base des tours et de douves rappelle les dispositifs de sécurité   établis à la fin du Moyen-Âge et à la période   troublée de la guerre de Cent Ans.   La construction   a été remaniée au XVIe siècle donnant à la   façade sont style renaissance particulier au Pays de Caux. Son décor   polychrome composé de brique, pierre, silex blond et noir, grès   disposés en damiers, bâtons brisés et autres figures géométriques,   est d'une richesse exceptionnelle. Le manoir se visite l'été. Son colombier abrité le "Musée   des colombiers Cauchois".  

 

 

 

Château de Bretteville


Edifice construit au XVIIIème siècle(inscription au titre des Sites le 9 novembre 1943, et classement Monument Historique par arrêté du 2 octobre 1992).
Le château de Bretteville, établi à Bretteville Saint Laurent présente un exemple parfait d’architecture classique du début du XVIIIème siècle avec son ornementation et sa symétrie.
Mais c’est aussi une construction typiquement cauchoise par l’emploi de grès qui souligne la jolie brique rose.
Ce n’est pas en pierre comme cela se faisait beaucoup, que sont tous les bandeaux, les clés, les écoinçons et les frontons des baies, tous très largement moulurés, mais en grès bleuté, sans doute de Gueuteville. Sans doute construit vers 1730 /1732, il s’agit d’un emploi du grès très tardif.